Viager occupé : guide complet pour propriétaires et investisseurs

Le viager occupé, plus qu’une simple transaction immobilière

S’assurer des revenus réguliers tout en conservant son lieu de vie ou investir dans la pierre à prix réduit grâce à un placement porteur de sens, le viager occupé offre ces possibilités.

Horus Sélection est là pour vous aider à en comprendre les subtilités.

Découvrir le viager

Pourquoi choisir le viager occupé ?

C’est un accord gagnant-gagnant entre un senior qui sécurise sa retraite sans quitter son domicile et un investisseur immobilier qui prépare l’avenir sereinement.  Découvrez comment le viager occupé offre complément de revenus à vie, stabilité et sécurité aux vendeurs seniors, tout en proposant aux acquéreurs un investissement décoté, solidaire et rentable.

Revenus garantis

Une rente mensuelle sécurisée par acte notarié pour toute sa vie

Maintien à domicile

Un lieu de vie préservé en monétisant son patrimoine immobilier

Capital immédiat

Un bouquet perçu dès la signature pour financer ses projets

Prix avantageux

Une acquisition immobilière décotée de 30 à 50% par rapport au marché

Dimension éthique

Un placement utile qui soutient le bien-être et l'autonomie des seniors

Zéro gestion locative

Un investissement immobilier sans contraintes de locataire ni d'impayé

Notre expertise à votre service

Horus Sélection accompagne vendeurs et acquéreurs dans leurs projets de viager occupé

Forts de plus de 300 transactions réussies, nous répondons à vos interrogations et mettons notre expertise juridique et financière au service de votre projet immobilier.

Qu'est-ce que le viager occupé ?

Le viager occupé est une formule immobilière unique qui permet à un vendeur appelé crédirentier, de céder son bien à un acheteur appelé débirentier, en échange d’un bouquet (capital initial payé comptant) et d’une rente viagère mensuelle garantie à vie.

Le crédirentier conserve le droit d’usage et d’habitation (DUH) du bien, ce qui lui permet d’y vivre à vie. Il ne peut pas le louer, contrairement à un usufruit complet.

Ce n’est qu’au moment du décès du vendeur que l’acheteur récupère la pleine jouissance du bien.

Le Droit d’Usage et d’Habitation (DUH) : fondement juridique du viager occupé

Ce droit viager est la clé du viager occupé. Concrètement, le vendeur conserve l’usus (le droit d’user du bien, d’y habiter) mais pas le fructus (droit d’en percevoir les revenus). Ainsi, il demeure chez lui à vie, en jouissant du logement pour lui-même, mais sans pouvoir le louer à un tiers.

De son côté, l’acquéreur accepte d’être propriétaire sans usage immédiat. En contrepartie, il bénéficie d’une décote sur le prix de vente équivalente à la valeur monétaire de ce droit d’usage. Cette décote d’occupation compense la privation temporaire de jouissance du bien par l’acquéreur.

Le viager occupé repose sur un équilibre : un senior reste chez lui en améliorant sa retraite, pendant qu’un investisseur acquiert le bien immobilier à un coût réduit, compensant l’attente par une économie substantielle.

Les avantages clés du viager occupé

Pour le vendeur / crédirentier :

« Avec ma retraite de 1 250€ et ma rente viagère de 850€, j’ai clairement augmenté mes revenus mensuels. Je peux enfin profiter de ma passion pour les voyages tout en finançant mon aide à domicile. » – Marie, 77 ans, Toulouse

*Le crédirentier a l’assurance de percevoir sa rente à vie ou de récupérer son bien si l’acquéreur ne respecte pas ses obligations

En l’absence de précision, la loi prévoit que le vendeur paie les charges courantes et taxes comme la taxe foncière, l’acheteur assumant les gros travaux​

En bref, le vendeur en viager occupé améliore son confort de vie sans quitter son domicile, transforme son logement en revenu viager sécurisé et se libère de certains soucis matériels, tout en préparant sereinement l’avenir.

Pour l'acquéreur / débirentier :

« J’ai pu devenir propriétaire d’un appartement à Nice avec une décote de 45 %. Une opportunité inimaginable sur le marché traditionnel. » – Laurent, 38 ans, Lyon

En l’absence de clause contraire, la loi prévoit que le vendeur assume les charges d’occupation courantes et l’acquéreur les grosses réparations.

Le viager occupé constitue une opportunité d’investissement alternative aux placements immobiliers classiques, offrant des avantages distinctifs pour les investisseurs avisés à la recherche d’un patrimoine à long terme. De plus en plus d’investisseurs se tournent vers cette solution.

des experts engagés

Transformez votre maison en source de revenus tout en y restant

Le viager occupé représente une solution patrimoniale idéale pour les seniors propriétaires souhaitant améliorer leur qualité de vie sans déménager.

Vendeur / crédirentier

Êtes-vous concerné par la vente en viager occupé ?

Le viager occupé est particulièrement adapté si vous vous reconnaissez dans certaines de ces situations :

Acheteur / Débirentier

Avez-vous le profil idéal pour investir en viager occupé ?

Le viager occupé convient particulièrement à l’investisseur qui se reconnait dans certaines de ces situations :

Vivez l'expérience Horus Sélection

3 façons de nous découvrir

Contactez-nous ! Notre équipe d'experts vous conseille que vous soyez investisseur ou vendeur

Bouquet + Rente viagère : le mécanisme de paiement

Fonctionnement du viager occupé

Vous vous demandez comment se déroule concrètement une vente en viager occupé ? Voici les principes de fonctionnement et les étapes clés d’une transaction type. Dans un viager occupé, le prix de vente est converti en deux éléments :

Le bouquet

Une somme initiale versée comptant au vendeur le jour de la signature chez le notaire. Son montant est librement fixé d’un commun accord. En général, le bouquet représente environ 20 à 30% de la valeur du bien, mais il peut varier selon les besoins du vendeur et la stratégie de l’acquéreur.

Certains viagers peuvent même être conclus sans bouquet (100% en rente), ou au contraire avec un bouquet élevé et une rente plus faible.

La rente viagère

Un paiement périodique (souvent mensuel) versé au crédirentier pendant toute sa vie. Le montant de la rente est calculé selon plusieurs facteurs : valeur libre du bien, âge et espérance de vie du vendeur, montant du bouquet versé, et bien sûr le fait que le bien soit occupé​. Toutes ces données sont modulées pour que bouquet + rente correspondent à la valeur occupée du bien (valeur libre moins la décote d’occupation). La rente peut être indexée annuellement sur un indice pour suivre l’inflation et préserver le pouvoir d’achat du crédirentier au fil du temps.

Fiscalité détaillée - vendeur / crédirentier

Avantages fiscaux pour le vendeur

Si ce n’était pas sa résidence principale, la vente en viager est soumise au régime général des plus-values immobilières, avec toutefois une particularité : la plus-value est calculée sur la valeur vénale libre du bien, mais le paiement étant échelonné, le vendeur peut également demander un paiement échelonné de l’impôt sur la plus-value (sous certaines conditions) ou l’insérer dans la rente.

Fiscalité détaillée - acheteur / Débirentier

Avantages fiscaux pour l'acheteur

des experts engagés

Vous avez une question ?
Un conseiller vous répond sous 48 heures

Nos experts vous répondent

Vos questions les plus fréquentes

C’est une idée reçue tenace, mais la réalité est plus nuancée. Certes, la durée de la rente dépend de la longévité du vendeur, ce qui introduit une part de hasard. Cependant, le viager occupé est avant tout un contrat solidaire et équilibré : le senior améliore sa qualité de vie et l’acquéreur réalise un investissement immobilier à long terme. Ni l’un ni l’autre n’a intérêt à spéculer sur la mort : la loi impose d’ailleurs que l’issue soit incertaine (si le décès du vendeur survient dans les 20 jours de la vente, celle-ci peut être annulée pour absence d’aléa).

Plutôt qu’un pari sur la mort, le viager est un pari sur la vie du vendeur : l’acquéreur mise sur une durée de paiement raisonnable, et le vendeur sur une retraite sereine.

Les deux partis ignorent combien de temps durera le viager – c’est ce qui rend le contrat équilibré et légitime.

Si le crédirentier (vendeur) dépasse largement l’espérance de vie estimée, l’acquéreur continuera à payer la rente aussi longtemps que nécessaire. Il n’y a pas de limite de durée : la rente est viagère, c’est-à-dire à vie. Pour l’investisseur, cela signifie que le coût total de l’achat sera plus élevé que prévu initialement, pouvant même dépasser la valeur du bien estimée au départ. C’est le risque assumé de l’acheteur en viager, tout comme le vendeur prend le risque inverse (celui de décéder tôt et donc de « sous-profiter » de sa rente).

Cela étant, même dans le cas d’une longévité exceptionnelle du vendeur, l’acquéreur a bénéficié en contrepartie de décennies sans gestion locative ni charges, et souvent la valeur du bien immobilier a augmenté. Le viager reste donc une opération équilibrée sur le long terme.

Par ailleurs, l’acheteur peut avoir optimisé son financement (par exemple en plaçant à rentabilité équivalente les sommes qu’il n’a pas dû débourser initialement grâce à la décote). En somme, une vie très longue du crédirentier réduit le rendement de l’investissement, mais ne le condamne pas : c’est un scénario possible qu’il faut accepter moralement et financièrement en s’engageant dans un viager.

Le décès de l’acheteur n’annule pas le viager. Le contrat se poursuit normalement et la rente doit continuer à être versée au vendeur.

En pratique, ce sont les héritiers de l’acquéreur ou son conjoint survivant qui reprendront l’obligation du versement de la rente, en même temps qu’ils hériteront du bien (toujours occupé). L’acte de vente en viager étant un titre exécutoire, le crédirentier conserve tous ses droits : si les héritiers ne souhaitent pas ou ne peuvent pas assumer la rente, ils devront vendre le bien à un tiers qui prendra le relais du viager, ou trouver un accord (parfois une compagnie d’assurance peut racheter la rente).

Dans tous les cas, le crédirentier n’est pas lésé : le privilège de vendeur inscrit lors de la vente lui confère une sûreté de premier rang sur le bien immobilier, lui permettant de faire saisir puis vendre le bien aux enchères si les versements de rente cessent, afin de se payer sur le produit de la vente en priorité.

Heureusement, ces situations sont rares et généralement anticipées : l’acheteur peut souscrire une assurance-décès pour couvrir le solde des rentes à payer, protégeant ainsi ses héritiers et le vendeur.

Oui, tout à fait. On parle alors de viager sur deux têtes (par exemple un couple marié vendant conjointement). Le contrat précise si la rente est réversible au survivant (la solution habituelle) ou réductible.

Rente réversible : la totalité de la rente continue d’être versée au conjoint survivant après le décès du premier, jusqu’au décès du second.

Rente réductible : la rente diminue selon une proportion convenue à la mort de l’un des deux (par exemple : -30%).

La réversibilité assure une protection maximale du conjoint survivant. Naturellement, dans un viager sur deux têtes, l’âge pris en compte pour le calcul est celui du plus jeune des deux vendeurs (puisque la rente durera jusqu’au décès du dernier vivant).

L’acquéreur bénéficiera donc d’une décote plus importante initialement, mais s’engage possiblement sur une durée de paiement plus longue. Ce type de viager est fréquent pour les couples seniors, afin de sécuriser le train de vie du survivant.

Du point de vue de l’acheteur, il doit envisager le scénario de longévité maximale sur deux personnes, mais en contrepartie le bien est souvent entretenu à deux et l’investissement peut rester très intéressant.

La vente en viager est un acte notarié qui inclut plusieurs garanties juridiques pour le crédirentier.

D’abord, le notaire publie un privilège de vendeur au bureau des hypothèques : c’est une sûreté réelle sur le bien, qui prime même les hypothèques bancaires, garantissant au vendeur le versement de la rente. En cas de manquement, cette garantie permet d’agir en justice pour saisir le bien.

Ensuite, l’acte contient presque toujours une clause résolutoire de plein droit : si l’acheteur ne paie pas la rente au bout d’un certain nombre d’échéances (souvent deux impayés consécutifs après mise en demeure), le vendeur peut faire résilier la vente automatiquement. Il récupère alors la pleine propriété de son bien, conserve le bouquet et les rentes déjà perçues, et peut même réclamer des dommages et intérêts. Cette clause dissuasive protège très efficacement le crédirentier.

Par ailleurs, le notaire peut exiger que l’acheteur assure le paiement de la rente via un organisme tiers (caisse de dépôt) ou une assurance, surtout si le débirentier est âgé. Enfin, le vendeur a l’assurance de rester chez lui quoi qu’il arrive, puisque son droit d’usage est inscrit dans l’acte : même en cas de revente du bien ou de décès de l’acheteur, ce droit est opposable aux tiers et court jusqu’à son propre décès.

Oui, le crédirentier peut décider, plus tard, de libérer le bien volontairement, par exemple s’il entre en maison de retraite ou va vivre chez un proche. Dans ce cas, deux scénarios sont possibles : soit le contrat de viager avait prévu cette éventualité (avec une clause de libération anticipée précisant les conséquences), soit il n’y avait rien de prévu et vendeur et acheteur devront trouver un accord amiable. En général, si le vendeur renonce à son droit d’usage de manière définitive, l’acheteur pourra dès lors jouir du bien (le louer ou l’occuper).

Il est d’usage d’augmenter la rente dans ces cas-là, pour compenser le vendeur qui n’a plus l’usage du logement. Par exemple, le contrat peut stipuler qu’en cas de départ en maison de retraite, la rente sera majorée de 30%. Sinon, les parties peuvent négocier une indemnité libératoire versée au vendeur.

Ce qui est certain : le crédirentier n’est jamais obligé de partir, c’est uniquement s’il le souhaite ou s’il ne peut plus rester (pour raisons médicales, par exemple) qu’une libération anticipée se produit. Du point de vue de l’acheteur, c’est une bonne surprise qui accélère son entrée en possession, mais elle a un coût si la rente augmente en parallèle.

Oui. L’acheteur en viager est propriétaire du bien immobilier dès l’acte de vente, il peut donc le revendre quand il le souhaite.

Toutefois, la vente se fera occupée aux mêmes conditions : le nouveau propriétaire devra reprendre l’obligation de payer la rente viagère aux mêmes termes. En pratique, le viager occupé peut ainsi être cédé sur le marché de l’investissement viager. L’acheteur initial peut vouloir revendre s’il a besoin de liquidités ou s’il souhaite réaliser son profit avant le terme. Il lui suffit de trouver un acquéreur intéressé par le viager aux conditions en cours. On recalcule généralement le viager en fonction de l’âge actualisé du vendeur et de la rente convenue, pour déterminer un prix de revente (on parle de rachat de viager).

Cette flexibilité offre une porte de sortie à l’investisseur si sa situation change. Côté crédirentier, rien ne change : il continue de toucher sa rente comme prévu, seul le payeur change.

À noter que ce type de revente reste relativement rare et nécessite l’accompagnement d’un professionnel pour bien valoriser le contrat en cours.

Non, c’est un préjugé courant. Bien au contraire, plus de 60% des vendeurs en viager ont des enfants ou héritiers et ceux-ci sont souvent impliqués dans la décision​.

Le viager occupé peut être un choix familial réfléchi : les parents améliorent leur quotidien grâce au viager, et les enfants sont rassurés de les voir vivre confortablement. Certains seniors avec descendance optent pour le viager afin de ne pas être financièrement à charge de leurs enfants, ou pour leur transmettre une partie de l’héritage de leur vivant (via le bouquet ou la rente qu’ils peuvent en partie donner aux enfants).

De plus, les héritiers d’un crédirentier en viager ne sont pas forcément lésés : si le senior a profité de son argent, c’est autant de moins à financer pour la famille (par exemple les frais d’EHPAD éventuels sont couverts par la rente viagère). Et s’il décède rapidement, le bouquet et les quelques rentes perçues peuvent faire partie de la succession. En somme, le viager n’est pas un acte d’égoïsme envers les héritiers, c’est souvent l’inverse : il permet de préserver l’autonomie financière du parent âgé et parfois d’anticiper la transmission sous d’autres formes

La valeur occupée du bien = la valeur vénale libre – la valeur du DUH viager

Pour calculer cette décote, les professionnels s’appuient sur l’espérance de vie du vendeur et estiment un loyer annuel théorique que vaudrait le bien. Par exemple, un appartement qui vaudrait 1000 € de loyer par mois (soit 12000 € par an) et un vendeur avec une espérance de vie de 10 ans donnent un usage d’une valeur d’environ 120000 € (actualisés). Cette somme est la valeur du droit d’habitation à déduire du prix de la valeur du bien.

Plus formellement, on actualise les futurs loyers prévisionnels sur la durée de vie probable du vendeur pour obtenir la valeur actuelle nette du DUH. Le taux d’actualisation choisi (souvent 3 à 5%) reflète le rendement attendu par l’acquéreur et le risque lié à l’incertitude de la durée. Ainsi, la décote d’occupation représente généralement 30 à 60% de la valeur selon l’âge.

Ces évaluations étant complexes, il est recommandé de faire appel à Horus Sélection ou à des outils de simulation viagère.

Viager et juridique

Découvrir le cadre juridique essentiel du viager occupé

Le viager occupé s’inscrit dans un cadre juridique précis défini par le Code Civil, notamment autour des principes de vente et d’aléa. Pour qu’un contrat de viager soit valable, le vendeur ne doit pas être en état de mort imminente lors de la signature, c’est une condition fondamentale pour préserver l’aléa caractéristique de ce type de transaction.

L’acte de vente doit mentionner l’identité des parties, la description du bien, le montant du bouquet, le montant et la périodicité de la rente, les modalités d’indexation, et toutes clauses particulières convenues.

Les clauses incontournables d'un contrat de viager occupé

Clause résolutoire

Protège le vendeur en cas de non-paiement de la rente, permettant l'annulation de la vente

Clause d'indexation annuelle

Généralement indexée sur l'indice des prix à la consommation ou l'indice des loyers

Clause de réversibilité

Essentielle pour les viagers sur deux têtes, elle précise le pourcentage de rente maintenu pour le survivant

Clause de libération anticipée

Optionnelle mais stratégique, elle prévoit les conditions si le vendeur quitte le logement avant son décès

Clauses d'entretien

Définissent les responsabilités de chaque partie concernant le maintien du bien et les assurances

Être rappelé(e) sous 24h

Conseils personnalisés, estimation gratuite et réponses claires et rapides à toutes vos questions

Bon à savoir :

En cas de défaillance de l’acheteur, la résolution du contrat n’est pas automatique. Le vendeur doit d’abord mettre en demeure le débirentier puis, si nécessaire, engager une procédure judiciaire. Les conseils avisés d’Horus Sélection et un contrat bien rédigé par un notaire transforment cette démarche en formalité relativement standardisée.

Les frais à prévoir :

Cas particuliers : réserve d’usufruit, multi-têtes, protection juridique, SCI

Le viager ne se limite pas à un modèle unique, il se décline pour répondre aux besoins les plus spécifiques. Qu’il s’agisse de préserver son droit d’usage, de partager la rente entre co-vendeurs, de mettre à l’abri un proche vulnérable ou de loger l’opération dans une structure sociétaire, chaque option ouvre des perspectives juridiques et fiscales stratégiques.

Viager avec réserve d'usufruit

Moins courant mais parfois plus avantageux, ce montage permet au vendeur de conserver l'usufruit complet du bien plutôt que le simple droit d'usage et d'habitation.

Différence essentielle : l'usufruitier peut louer tout ou partie du bien à un tiers et en percevoir les loyers s'il décide de ne plus y habiter. Cette option convient particulièrement aux vendeurs qui envisagent potentiellement un déménagement futur (rapprochement familial, maison de retraite partielle...).

La décote de prix sera un peu différente car l’usufruit vaut plus que le DUH. Horus Selection saura vous conseiller sur le choix DUH vs usufruit en fonction de vos objectifs.

Viager sur plusieurs têtes non conjointes

Des configurations familiales diverses peuvent justifier un viager occupé sur plusieurs têtes, comme des frères et sœurs âgés, des amis partageant un logement ou un parent avec un enfant en situation de handicap.

Dans ces situations, le contrat précise que la vente est effective jusqu'au décès de la dernière personne désignée. Les calculs d'espérance de vie combinée deviennent plus complexes, nécessitant l'expertise d'une agence spécialisée comme Horus Sélection pour calibrer équitablement le montant de la rente.

Protection des personnes vulnérables

Le viager peut concerner des personnes sous protection juridique, nécessitant des procédures spécifiques sécurisées.

Si le vendeur est sous tutelle ou curatelle, la vente en viager nécessite l’autorisation du juge des tutelles et l’intervention du tuteur/curateur. Si le vendeur a des enfants majeurs protégés ou des ayants droit avec incapacité, des approbations spécifiques sont nécessaires.

Si des héritiers réservataires sont susceptibles de contester plus tard la vente, un notaire s’assurera du respect des formes légales pour éviter toute future contestation.

Horus Sélection maîtrise ces procédures pour vous guider en terrain sécurisé.

Viager et SCI

Combiner viager et SCI ouvre des possibilités stratégiques patrimoniales avancées pour optimiser transmission et fiscalité. La combinaison viager-SCI permet :

• La vente en viager d'un bien détenu par une SCI
• La vente des parts d'une SCI en viager
• L'achat en viager via une SCI familiale
(facilitant la transmission ultérieure)

Chaque montage implique des conséquences fiscales et patrimoniales spécifiques. Notre équipe collabore étroitement avec vos conseils (notaires, avocats, CGP) pour élaborer la structure la plus adaptée à votre situation.

La meilleure expertise viagère

Découvrir 3 alternatives au viager occupé

Pour un projet réussi

Des conseils concrets pour vendre ou investir en viager en toute confiance

Peut-on vendre en viager à un membre de sa famille ? Avantages et risques
10 pièges à éviter lors de l’achat d’un bien en viager
Viager occupé : qui paie quoi ? Charges, travaux et fiscalité expliqués
Comment fonctionne la rente viagère ? Guide complet et actualités 2025
Les avantages fiscaux du viager pour le vendeur : économies d’impôts détaillées

Témoignages clients

Ils ont concrétisé leur projet viager avec Horus Sélection

Transparence, écoute et accompagnement font notre réputation. Lisez leurs retours d’expériences authentiques.
Marie France Dinetan

Royan (17)

Un accompagnement parfait, la disponibilité de SAS Horus est très sécurisante. Pas de questions sans réponses franches et précises.

Christophe Chaussende

Lyon (69)

Réactif et à l’écoute de mes besoins. Horus sélection a su m’accompagner dans mon projet immobilier.

Daniel Cristol

Rodez (12)

Un accompagnement sans faille pour un projet où je n’y connaissais absolument rien. Résultat garanti. Un grand merci à vous.

Christophe & Anne M.

Breuillet (17)

Christian F. a une vraie éthique professionnelle avec un souci constant de l’intérêt de ses clients

Christian & Martine B.

Narbonne (11)

A l’écoute des besoins de notre famille, Anne-Lise B. a su identifier nos besoins, et apporter des idées innovantes pour notre fiscalité

Guy & Hélène N.

Poitiers (86)

Jean-Guy J. a parfaitement répondu à nos attentes en terme de retraite et de sécurité de la famille

Gérard P.

Saint-Pée-sur-Nivelle (64)

Notre consultant patrimonial G., a été à l’écoute de nos besoins et nous a proposé une réponse adaptée.

Philippe & Nathalie H.

Florensac (34)

HORUS SELECTION est une structure sérieuse, compétente et disponible.

Sylvie M.

Tarascon (13)

Un accompagnement de qualité, une écoute active et du professionnalisme, merci Guy. !

Mes coordonnées :

Vous pouvez aussi nous joindre directement au :

05 46 38 54 51